TRA ARMANAMI

La situation singulière des écrivains aroumains est mise en lumière de manière fort suggestive dans le panorama dressé par Gheorghe Carageani en 1990. Il distingue et illustre trois cas de figure récurrents parmi les auteurs ayant produit de oeuvres de fiction. D’abord, ceux qui ont écrit dans la langue du pays où ils vivaient : en grec, en serbe, en roumain… Ensuite ceux qui ont écrit à la fois dans la langue du pays où ils vivaient et en aroumain. Enfin, ceux qui ont écrit surtout ou seulement en aroumain… (extrait de la Postface)

Limba teasã pritu eti : Dumitru Bacu, Matilda Caragiu Marioţeanu, Cola Caratana, Nikola Cincar Poposki,  Constantin Colimitra, Ilja Colonja, Joan Cutova, Nikolai Curćev, Dina Cuvata, Vlatko Dibrean, Dimo M. Dimčev,  Santa Djika, Vangel Dunoski, Dimitri Fuchi, Spiro Fuchi, Gica Godi, Dušan Gojkov, Kira Iorgoveanu Mantsu, Liljana  Nikolova Petrović (alias Lila Cona), Mihali Prefti, Nebojša Ozmić, Eli Schingherghi, Srdan Seculić, Slavica Sterjova, Vangja Mihai Sterju, Enache Toma, Gheorghi Vrana, Vangel Zega. 

Unu cumatã dit protu zboru la Antologhia bilingvala a pueziiljei armãneascã contemporanã (Lila Cona)